Eça de Queiroz

SUITE ROYALE EÇA DE QUEIROZ

{25 novembre 1845, {Póvoa de Varzim, Porto, Portugal} – 16 août 1900 {Neuilly-sur-Seine, France}}

Eça de Queiroz est à l'honneur dans l'une de nos chambres d'hôtel de la catégorie Suite Royale, qui dispose d'une vue sur la ville, d'un balcon et d'un lit double ou twin .

La pièce a été décorée par la designer Isabel Sá Nogueira.
C'est Jorge Curval qui a peint le portrait de l'auteur.

Située au premier étage, cette suite fait partie de notre meilleure catégorie de chambre et la plus spacieuse, avec d'impressionnants stucs au plafond. Le cube géant, entièrement recouvert de miroir, est une autre particularité de cette suite de notre Torel Palace Porto, un hôtel de luxe au centre de Porto. Plantée au centre de la pièce, c'est là que se trouve la salle de bain, décorée de marbre. Notre meilleure catégorie de chambre dans l’hôtel le plus élégant et romantique de Porto.

58 m2
Lit double ou lits jumeaux
Vue de la ville
Balcon
Machine à café
Mini-bar
Télévision
Wifi gratuit
Climatisation
Sèche-cheveux
Sûr
Occupation : jusqu'à trois personnes

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[GALERIE D'IMAGES]

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À PROPOS DE L'ÉCRIVAIN...

José Maria Eça de Queirós, connu sous le nom d'Eça de Queiroz, fut l'un des écrivains portugais les plus importants et le premier et le plus connu écrivain réaliste portugais.

Considéré comme l'un des plus grands romanciers de la littérature portugaise, Eça de Queiroz fut également le seul romancier de son époque à atteindre une renommée internationale. Son expérience à l'étranger lui offre une distance critique et l'inspiration de la plupart de ses œuvres, qui critiquent à leur tour la société portugaise. Le fait qu'il soit né d'une mère célibataire, ce qui en fait un enfant illégitime jusqu'à l'âge de 40 ans, peut également expliquer pourquoi nombre de ses personnages sont des femmes malhonnêtes et adultères.

Quelques-unes de ses œuvres principales :

O primo Basílio (1878);
O crime do padre Amaro (1880);
Os Maias (1888);
A cidade e as serras (1903).

"Mais ce que la cité détériore le plus chez l'homme, c'est l'intelligence, parce qu'elle l'organise dans la banalité ou le pousse à l'extravagance (...)." - A cidade e as serras, Eça de Queiroz.

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